Aujourd'hui, c'est lundi, pas de Blackberry (et ça rime en plus). La bête est morte, ce week-end, enfin, la batterie. Vide. Ce matin, il clignotait désespérément, rouge, manifestant son désaccord de derniers signaux stridents, sans même la force de vibrer encore. Et comme le chargeur est à la maison, ce n'est pas plus mal. Plus de rappels de meetings, plus de vibrations à chaque nouvel e-mail, plus d'appels, rien, l'autarcie numérique. Le calme, le désert. Si simple...

Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire