mardi 31 août 2010

Plutôt frustrant

Hier, la mère de mon fils qui me signifie par e-mail qu'elle ne pourra pas payer sa part des frais de l'école parce qu'elle vient d'acheter une maison.
Aujourd'hui, la préparation de demain.
Demain, le chef des lapins crétins qui débarque pour parler à mon chef et à moi.

Alors elle, je lui ai répondu par mail que non, ce n'était pas possible.
Et lui, demain, après avoir écouté ses lamentations contractuelles, je lui dirai que j'en ai marre de ses lapins et que donc à partir de dorénavant ce sera mon nouvel employé, poulain fougueux, qui s'occupera d'eux avec une objectivité toute neuve et dénuée de toute lassitude de leur passif catastrophique.

Et puis jeudi, je retournerai faire un tour en Allemagne, tiens, comme la semaine dernière. Un jour, une ville. Ach so...

vendredi 20 août 2010

Et on continue

Petit Coyote rentré là-bas, loin, chez sa mère, je me retrouve à Paris, à travailler pour des troglodytes névrosés encore plus saoulants qu'avant les vacances. En plus, ils se permettent des remarques "assassines". J'aurais tendance à leur dire merde. D'ailleurs je le fais, de moins en moins poliment d'ailleurs puisque de toute facon l'hippopotame psychotique dira par principe que c'est de ma faute, que je gère mal (insérez ici une liste à choix multiples). Non vraiment, j'en ai marre de lui et de cette floppée de lapins crétins que l'on nomme "clients" par politesse, attendent en retour le respect mais à aucun moment ne s'en montrent dignes. Et puis surtout de lui et de son besoin maladif d'être désagréable, contradictoire et sa mauvaise volonté à comprendre ce qu'on lui dit. Non, vraiment, cette histoire ne va nulle part.

lundi 9 août 2010

Lessons learned

Le pire jour, c'est le premier au retour des vacances, confrontation inéluctable avec ce que l'on a nié des jours durant. Je ne déroge pas à la règle, je perds mon temps.
Combien d'instants précieux perdus pour parler aujourd'hui au téléphone avec des crétins obtus?
Certains diront des instants perdus, d'autres diront des instants gagnés complémentaires...
Petit Coyote est toujours là-bas, heureux comme un lapin sur une dune atlantique protégée. Et moi, qu'est-ce que je fous ici? Bonne question... Non, vraiment, j'aurais dû faire comme l'année dernière: démissionner et regarder vers le futur.