vendredi 20 août 2010

Et on continue

Petit Coyote rentré là-bas, loin, chez sa mère, je me retrouve à Paris, à travailler pour des troglodytes névrosés encore plus saoulants qu'avant les vacances. En plus, ils se permettent des remarques "assassines". J'aurais tendance à leur dire merde. D'ailleurs je le fais, de moins en moins poliment d'ailleurs puisque de toute facon l'hippopotame psychotique dira par principe que c'est de ma faute, que je gère mal (insérez ici une liste à choix multiples). Non vraiment, j'en ai marre de lui et de cette floppée de lapins crétins que l'on nomme "clients" par politesse, attendent en retour le respect mais à aucun moment ne s'en montrent dignes. Et puis surtout de lui et de son besoin maladif d'être désagréable, contradictoire et sa mauvaise volonté à comprendre ce qu'on lui dit. Non, vraiment, cette histoire ne va nulle part.

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