Oui, tu bois... pour oublier la distance, mais pas celle-ci. Pour oublier l'éloignement, mais pas celui-ci. Pour oublier la solitude, mais pas celle-ci. Au bar du coin, on boit des shots, fous et solitaires, tous. Seuls, ensembles. A Munich comme à Paris, en définitive: rien ne change...
lundi 13 septembre 2010
Et tu bois...
Publié par Grand Coyote à 23:45
Thèmes : J'aime, J'aime pas, Ma vie allemande, Ma vie française
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