Ce soir, c'était le beaujolais nouveau. Rien de bien extraordinaire, me direz-vous. Un vin approximatif, une coutume discutable, mercantile et surranée. Ce serait compter sans le "social"...
Le "social", c'est ce groupe facebook sans couleur initiale, où mon bon Benz m'invita. Et comme tous groupes, il y a des "events". Et comme j'avais envie de sortir de mon tunnel, je me suis inscrit. Après une journée à Wolfsburg, je méritais bien cela, après tout.
Brave mais anxieux, je retrouve Benz à la sortie du métro. C'est Paris, il pleut, je ne connais pas le coin, mais que diantre! On rentre. Au sous-sol du lieu, réunion du groupe. Des gens de tous horizons. Je laisse ma veste sur un cintre, dans un coin.
Buvons-donc un Beaujolais. C'est cher, ce n'est pas terrible, mais bon, tradition... On parle avec des gens inconnus. Et puis, dans un éclair de cette cave sombre, elle est là, soudain, inattendue.
Elle ressemble un peu à Cuculidée Malchanceuse, mais ce n'est qu'une similitude lointaine, elle est bien plus. Je me rends compte plus tard, alors que nous devisons au bar, qu'elle est un peu cette francaise dont tous les allemands rêvent. Et là, je deviens fou ou schizophrène, je ne sais plus...
Elle s'en va, mais on se reverra. Je n'ai pas repris de Beaujolais et finalement, je suis plutôt content, ce soir. Il pleut: paisible...
Le "social", c'est ce groupe facebook sans couleur initiale, où mon bon Benz m'invita. Et comme tous groupes, il y a des "events". Et comme j'avais envie de sortir de mon tunnel, je me suis inscrit. Après une journée à Wolfsburg, je méritais bien cela, après tout.
Brave mais anxieux, je retrouve Benz à la sortie du métro. C'est Paris, il pleut, je ne connais pas le coin, mais que diantre! On rentre. Au sous-sol du lieu, réunion du groupe. Des gens de tous horizons. Je laisse ma veste sur un cintre, dans un coin.
Buvons-donc un Beaujolais. C'est cher, ce n'est pas terrible, mais bon, tradition... On parle avec des gens inconnus. Et puis, dans un éclair de cette cave sombre, elle est là, soudain, inattendue.
Elle ressemble un peu à Cuculidée Malchanceuse, mais ce n'est qu'une similitude lointaine, elle est bien plus. Je me rends compte plus tard, alors que nous devisons au bar, qu'elle est un peu cette francaise dont tous les allemands rêvent. Et là, je deviens fou ou schizophrène, je ne sais plus...
Elle s'en va, mais on se reverra. Je n'ai pas repris de Beaujolais et finalement, je suis plutôt content, ce soir. Il pleut: paisible...
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