Le 3, on retourne au travail après un week-end à Paris.
Le 3, on souhaite une bonne année à la pelle aux collègues de bureau, après le seul "Bonne année" qui compte, celui de minuit pile.
Le 3, on retourne manger le midi en groupe au resto attenant alors qu'on était il y a peu en tête-à-tête dans une brasserie renommée.
Le 3, il faut se lever tôt, ce que l'on n'a de toute évidence pas fait ces derniers jours.
Le 3, on retrouve toutes ces connaissances salariées et le soir, il manque une personne.
Le 3, comme tous les lundis, les aiguillages des trains souterrains en rapprochent certains, en séparent d'autres.
Le 3, on se dit que si 2011 sera comme la fin de 2010, on ne se plaindra pas, promis.
Le 3, on a la tête ailleurs et même si l'on est content de revoir des visages connus, non, ce n'est pas ca...
Le 3 au soir, on se dit qu'on la reverra le 4 ou le 5, alors bon...
Le 3, on souhaite une bonne année à la pelle aux collègues de bureau, après le seul "Bonne année" qui compte, celui de minuit pile.
Le 3, on retourne manger le midi en groupe au resto attenant alors qu'on était il y a peu en tête-à-tête dans une brasserie renommée.
Le 3, il faut se lever tôt, ce que l'on n'a de toute évidence pas fait ces derniers jours.
Le 3, on retrouve toutes ces connaissances salariées et le soir, il manque une personne.
Le 3, comme tous les lundis, les aiguillages des trains souterrains en rapprochent certains, en séparent d'autres.
Le 3, on se dit que si 2011 sera comme la fin de 2010, on ne se plaindra pas, promis.
Le 3, on a la tête ailleurs et même si l'on est content de revoir des visages connus, non, ce n'est pas ca...
Le 3 au soir, on se dit qu'on la reverra le 4 ou le 5, alors bon...
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