jeudi 10 avril 2008

Mustélidés d'outre-Rhin

Lors d'une discussion précédente, sans doute imbibée, enfin, pas trop, l'on me fit cette remarque: "Il est évident, dans tes exposés, que le coyote est amoureux de belette stylée". Ah ben ça... Je ne m'en étais même pas rendu compte... Le moment me semble donc adéquat pour faire un point sur les personnages féminins de ce navrant vaudeville bavarois.

M. M ne joue plus aucun rôle actif dans cette histoire. D'ailleurs elle non plus n'est pas d'ici. Et elle est tellement unique qu'il serait inutile d'essayer de tirer des conclusions statistiques et formatrices de son comportement. On oublie, donc.

Belette Stylée. Joue un rôle, en tant que confrontation quotidienne et professionnelle avec l'élément féminin. Eléments troublants: elle est jolie et elle a un coeur. On ne s'en rend pas compte tout de suite et c'est normal, c'est bien aussi. Mais c'est Belette Stylée. Même après la disparition des préjugés, elle n'en demeure pas moins responsable des ressources humaines de mon employeur actuel. Vous en tirerez de vous-même les conséquences qui s'imposent.

Une intermittente du spectacle, locale, dont je tairai le nom, rencontrée fugitivement lors d'un cocktail. Sa communication à elle est écrite et fatiguante, car empreinte d'incertitude et d'autres petites choses tellement allemandes que l'on comprend pourquoi cette langue est internationalement employée pour dresser les chiens (si). Je la connais à peine, déjà elle me fatigue... Pas bon signe...

La mère de Petit Coyote. Tant qu'on ne se fritte pas, c'est bien. D'ailleurs on ne se fritte pas, c'est calme, ces temps-ci. Donc tant mieux.

Et puis voilà. L'avantage, c'est que l'on a vite fait le tour...

1 commentaire:

Unknown a dit…
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