jeudi 27 mai 2010

Aftermath

A bien y réflechir (ce qui me semble aussi un signe que j'ai trop de temps libre), je ne suis même pas triste. Juste énervé. Grâce à elle en définitive, grâce à son manque de classe inattendu et sa malhonnêteté soudaine et définitive. Décevante, ma pauvre...

Du coup, à Paris que recouvrent d'épais nuages gris sombre, la pluie rebondit et fait luir les pavés et pour la première fois depuis longtemps, je vois sans oeillières. C'est fou. Et maintenant que le champ des possibles est à nouveau grand ouvert, je ne regrette rien. Ici ou ailleurs, finalement, quelle différence? Paris vaut bien une bière...

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