Voilà une semaine passée, pour oublier. Paris, c'est cher quand on veut s'alcooliser. J'ai passé la semaine dans divers bars, mais souvent le même, où la bière allemande est importée et me rappelle là-bas, à défaut d'Elle. Les Euros défilent, je ne sais plus. La grande blonde esthétique et maigre essaye de nous soutirer une cigarette devant le pub. Non. Elle repart, dépitée. C'est vrai qu'au collège personne ne doit lui refuser une cigarette. Moi, je n'en ai pas et je m'en fous. Les autres en ont et s'en foutent aussi. Mes Parisiens sont formidables, se jouent de ces choses avec une aisance presque dilettante. J'essaye de ne pas penser à Grande Belette ou de me convaincre que c'est une cause déjà perdue.
Le Suricate et le Renard me soutiennent mordicus "qu'on ne va pas ensemble". Je ne sais pas, je voudrais plus de détails, je n'y comprends rien, je suis affreusement et fatalement partial dans cette affaire, pas clair. Elle m'emmerde, mais est-ce bien suffisant? Elle réapparaît sporadiquement et je cours. Je discutais avec une collègue que bizarrement, les décisions professionnelles ne me faisaient pas peur, mais que dès qu'il s'agit de ma vie, voilà, c'est le boxon, je ne m'en sors pas. Ce soir, tard, je suis devant le clavier allemand, celui que je maîtrise mieux que le clavier français, je me dis que demain sera mieux. Mais non, ce sera la même zone, les mêmes interrogations, juste quelques heures plus tard, les mêmes cafards, au sens propre comme au sens figuré. Paris m'apporte beaucoup, mais m'a aussi pris énormément. La zone...
Le Suricate et le Renard me soutiennent mordicus "qu'on ne va pas ensemble". Je ne sais pas, je voudrais plus de détails, je n'y comprends rien, je suis affreusement et fatalement partial dans cette affaire, pas clair. Elle m'emmerde, mais est-ce bien suffisant? Elle réapparaît sporadiquement et je cours. Je discutais avec une collègue que bizarrement, les décisions professionnelles ne me faisaient pas peur, mais que dès qu'il s'agit de ma vie, voilà, c'est le boxon, je ne m'en sors pas. Ce soir, tard, je suis devant le clavier allemand, celui que je maîtrise mieux que le clavier français, je me dis que demain sera mieux. Mais non, ce sera la même zone, les mêmes interrogations, juste quelques heures plus tard, les mêmes cafards, au sens propre comme au sens figuré. Paris m'apporte beaucoup, mais m'a aussi pris énormément. La zone...
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